Le réchauffement de la planète est peut-être l’exemple le plus spectaculaire de ce que Timothy Morton appelle les « hyperobjets », ces entités aux dimensions temporelles et spatiales tellement vastes qu’elles mettent en déroute les idées traditionnelles, notamment sur ce qu’est une chose.
Dans ce livre, Morton explique ce que sont les hyperobjets et quel est leur impact sur notre façon de penser, de coexister avec les autres hommes et avec les non-humains, et sur notre expérience de la politique, de l’éthique et de l’art. En affirmant qu’il nous faut réinventer notre façon de réfléchir pour simplement commencer à appréhender le monde dans lequel nous vivons aujourd’hui, Hyperobjets — philosophie et écologie après la fin du monde franchit un premier pas et esquisse une approche écologique authentiquement postmoderne de la pensée et de l’action.
Timothy Morton occupe la chaire d’anglais Rita Shea Guffey à la Rice University. Il est l’auteur de nombreux livres, dont The Ecological Thought et Ecology without Nature.
« Je pense que Timothy Morton est en train de dévier l’angle apocalyptique vers de l’espoir ou du moins ce serait une tentative »
Björk
« Quelle sorte d’objet est un sac en plastique, une forêt, un océan, un fût de déchets nucléaires ? Le livre de Morton introduit une nouvelle conception de l’objet adapté à thématiser un environnement qu’il s’agit de défendre sans revenir à la notion traditionnelle de nature »
Pierre Cassou-Noguès
« Avec Hyperobjets, Timothy Morton fraie la voie à un changement d’échelle indispensable à notre (r)évolution collective : les hyperobjets (tels que les illustrent le dérèglement climatique ou la radioactivité de nos déchets nucléaires) hantent déjà nos perceptions du monde, dynamisent les expérimentations esthétiques et reconditionnent nos horizons politiques – même si philosophes et politiciens retardent terriblement par rapport aux artistes dans cet effort de redimensionnement. Ce livre a une fonction d’éclaireur, d’autant plus précieux qu’il redéfinit les limites mêmes de ce qui peut s’éclairer »
Yves Citton
240 pages

interférence - 2 - maycec
Le chateau enchanté - Atelier Mclane
Zoom Age - Julien Auregan
Tomber dans l'escalier - Jasper Sebastian Stürup
ADBC du Dessin - Jacques Floret
À partir de n°4 - Collectif
Party Studies – Vol. 1 – Home gatherings, flat events, festive pedagogy and refiguring the hangover
10 MINUTES Architects and Designers in Conversation
Strates & Archipels - Pierre Merle
WREK The Algorithm! - Aarnoud Rommens, Olivier Deprez
La peinture c'est comme les pépites - Pierre Yves-Hélou + Tirage
Eldorado maximum - Les commissaires anonymes
Les glaciers - Lorraine Druon
It was a good day - Jeremy Le Corvaisier
Pénurie - Zivo, Jérôme Meizoz
Gnose & Gnose & Gnose - Aymeric Vergnon-d'Alençon
Le style anthropocène - Philippe Rahm
Assembly - Sam Porritt
Aurore Colbert - Marie Mons
Editer l’art – Leszek Brogowski
Délices d’Orient - Sarah Vadé
Pectus Excavatum - Quentin Yvelin
Sans titre - Benjamin Hartmann
MENU メニュー - Wataru Tominaga
Pas vu Pas pris - Collectif, Olivier Deloignon, Guillaume Dégé
Watch out - Anne-Émilie-Philippe
Off the Grid - Anna Niklova
Le Gabion - Théo Robine-Langlois
Je ne peux pas ne pas - Geneviève Romang
Bambi # 4 - Collectif
[piʃaˈsɐ̃w̃] - antoine lefebvre editions,
Prose postérieure - Les commissaires anonymes
In The Navy - Julien Kedryna
Blaclywall by Sihab Baik - Claude Closky
Harry Thaler's Pressed Chair
Marcel Proust en cinq minutes — Jackson B. Smith
Typologie – La tente de camping
Piano - Joseph Charroy
Aristide n°4
De lave et de fer - Laurent Feynerou
Seoul Flowers & Trees - tribute to Lee Friedlander
Slanted 30 - Athens
Poèmes - Yvonne Rainer
Holy etc. - Fabienne Radi
Les Climats II (Japon) - Lola Reboud, Mariko Takeuchi
Papier magazine n°06 - Coupe du monde
Burning Images, A History of Effigy Protests - Florian Göttke
Dans la matrice : le design radical de Ken Isaacs - Susan Snodgrass 











