Faire exister, pour les arts performatifs, une revue conçue comme un studio à ciel ouvert.
Penser l’oralité comme un outil : un acte d’énonciation qui vient à la fois informer et transformer le réel de la pratique ou même prolonger l’acte de création. Penser l’acte de parler comme un processus d’apprentissage qui permet de faire émerger des éléments qui n’étaient pas, ou pas encore repérables dans la pratique avant ce travail de mise en parole. Sortir d’une parole de communication et entrer dans la conceptualisation d’un travail ou d’un processus de travail.
watt se propose de rentrer dans la matière d’un travail à travers trois formes possibles. Des entretiens autour du travail d’un artiste interrogé par un autre artiste (Within). Une carte blanche sur plusieurs pages (White Page) offerte à un artiste permettant de visualiser la fabrique des outils. Et enfin un article de réflexion (What More).
La revue, résolument tournée vers l’Europe portera son regard sur la scène européenne à un rythme biannuel.
166 pages

Avec ce qu'il resterait à dire - Anne Maurel
La typographie des Penguin Classics - Andrew Barker
A l'origine - Anne-Émilie-Philippe
Optical Sound 3
La France de tête #04
La Typographie post-binaire au delà de l'écriture inclusive - Camille Circlude
Inflamed Invisible - David Toop
Prose postérieure - Les commissaires anonymes
Imagos - Noémie Lothe
Pénurie - Zivo, Jérôme Meizoz
Inframince et hyperlié - Philippe Lipcare
Illusive prosody - Alex Beaurain
Gnose & Gnose & Gnose - Aymeric Vergnon-d'Alençon 

