Faire exister, pour les arts performatifs, une revue conçue comme un studio à ciel ouvert.
Penser l’oralité comme un outil : un acte d’énonciation qui vient à la fois informer et transformer le réel de la pratique ou même prolonger l’acte de création. Penser l’acte de parler comme un processus d’apprentissage qui permet de faire émerger des éléments qui n’étaient pas, ou pas encore repérables dans la pratique avant ce travail de mise en parole. Sortir d’une parole de communication et entrer dans la conceptualisation d’un travail ou d’un processus de travail.
watt se propose de rentrer dans la matière d’un travail à travers trois formes possibles. Des entretiens autour du travail d’un artiste interrogé par un autre artiste (Within). Une carte blanche sur plusieurs pages (White Page) offerte à un artiste permettant de visualiser la fabrique des outils. Et enfin un article de réflexion (What More).
La revue, résolument tournée vers l’Europe portera son regard sur la scène européenne à un rythme biannuel.
166 pages

Calendrier des révoltes - Matthieu Saladin
Sous mes semelles - Anaïs Lapel, Gaspard Kasimir
52 vendredis — Léonore Emond, Damien Duparc, Yaïr Barelli et Charlotte York
Collective Design : Alison & Peter Smithson
Tout va bien - Vera Muratet
twen [1959–1971]
Après la révolution – numéro 1
Amos Gitai et l'enjeu des archives - Jean-Michel Frodon
We want to look up at the Sun, but could the Sun be looking down on us? - Rudy Guedj & Olivier Goethals
Surface Tension - Tabitha Soren
Slanted 24 - Istanbul 

