« Ces images ne sont ni fenêtres, ni miroirs. Elles n’ouvrent pas sur un espace extérieur ; à peine perceptibles, on cherche à voir, non une sensation, un sentiment, une introspection : quinze versets visuels pour tromper l’ennui, conjurer le sort, le phlegme, la gueule-de-bois, la chance, la déprime, les aléas, le non-dit, les paris, les démons de la nuit, la maladie, peut-être la mort, comme des incantations impromptues. »
Antonio Guzman

Impossible de ne rien faire durant cette convalescence. Dormir, dix-huit heures, par journée, par épisodes, pour récupérer de l’énergie. Assommé par les médicaments et par le virus. Besoin de faire quelque chose de cette quarantaine forcée. Photographier, sans sujet, sans regard, sans stratégie. Choisir et ne pas choisir, choisir de ne pas intervenir. Faire des images pour guérir. 21 octobre 2017
40 pages
200 exemplaires

Quand l’ocean se retire d’Henri C. - Billiam C. et Camille Carbonaro
Voir la Palestine, Contre-champs artistiques - Stefanie Baumann
Je dors - Je travaille - Valentine Schlegel
Gros Gris n°4 - Duel
Cyclone - Juliette Chalaye
It was a good day - Jeremy Le Corvaisier
Grilles - Zelda Mauger
Du Fennec au Sahara - Guillaume Pinard
La vallée - la brèche - Tania Maria Elisa
Illusive prosody - Alex Beaurain 















