Eva Louisa Jonas photographie et rassemble des formes et des surfaces qu’elle combine délicatement. Ces objets ou situations rencontrées sont à la fois périphériques et intimes. La photographe dresse ainsi un paysage de ses propres émerveillements dans des structures d’ordre et de hasard. Alors, elle peut associer la peau et l’herbe, les empreintes et les arbres tombés, les feux flamboyants et les vues ombragées. Car il s’agit de saisir la mince couche sensible entre les yeux et le cœur, qui fait du regard un espace de rencontre avec des formes, des objets, des sensations.


La prise - Florian Javet
Les voiles de Sainte-Marthe - Christian Rosset
Acteurs d'un film gravé. Docteur A. Infirmier O. - Annabelle Dupret, Olivier Deprez et Adolpho Avril
Pas vu Pas pris - Collectif, Olivier Deloignon, Guillaume Dégé
Dada à Zurich – Le mot et l’image (1915-1916)Hugo Ball
Dans la matrice : le design radical de Ken Isaacs - Susan Snodgrass
Critique d'art n°54
Prose postérieure - Les commissaires anonymes
SKKS - Gilles Pourtier
Il est si difficile de trouver le commencement - Helen Thorington
La traversée - Magali Brueder
On the Soft Edge of Space - Marleen Sleeuwits
Le vieux père - Laurent Kropf 





























