Eva Louisa Jonas photographie et rassemble des formes et des surfaces qu’elle combine délicatement. Ces objets ou situations rencontrées sont à la fois périphériques et intimes. La photographe dresse ainsi un paysage de ses propres émerveillements dans des structures d’ordre et de hasard. Alors, elle peut associer la peau et l’herbe, les empreintes et les arbres tombés, les feux flamboyants et les vues ombragées. Car il s’agit de saisir la mince couche sensible entre les yeux et le cœur, qui fait du regard un espace de rencontre avec des formes, des objets, des sensations.


Le corps travesti - Michel Journiac
Le lacéré anonyme - Jacques Villeglé
Poétique d'une introspection visuelle - Jean-Charles Andrieu de Levis, Alex Barbier
il y avait une ville - Laeticia L'Heureux
Voir la Palestine, Contre-champs artistiques - Stefanie Baumann
Migrant Mother, Migrant Gender - Sally Stein
Roven n°4
Étrangement seuls - Jean-Pascal Princiaux
Rasclose - Geoffroy Mathieu
Dada à Zurich – Le mot et l’image (1915-1916)Hugo Ball
Watch out - Anne-Émilie-Philippe
Délié - Baptiste Oberson
Good Company - Paul Van der Eerden
Atopoz - Collectif
Holy Mountain - Maia Matches, Knuckles & Notch
Le blanc nez - Fouss Daniel 





























