Eva Louisa Jonas photographie et rassemble des formes et des surfaces qu’elle combine délicatement. Ces objets ou situations rencontrées sont à la fois périphériques et intimes. La photographe dresse ainsi un paysage de ses propres émerveillements dans des structures d’ordre et de hasard. Alors, elle peut associer la peau et l’herbe, les empreintes et les arbres tombés, les feux flamboyants et les vues ombragées. Car il s’agit de saisir la mince couche sensible entre les yeux et le cœur, qui fait du regard un espace de rencontre avec des formes, des objets, des sensations.


(page 1 et 17) - Lorraine Druon
La troisième oreille et autres textes + CD - Bryan Lewis Saunders
Tchat - Gary Colin
Holyhood, vol. 1 — Guadalupe, California - Alessandro Mercuri
Tanière de lune - Maria-Mercé Marçal
Teddy et le Grand Terrible - Orian Mariat.
9 octobre 1977 - Roberto Varlez
interférence - 3 - maycec
Dernier royaume - Quentin Derouet 





























