Eva Louisa Jonas photographie et rassemble des formes et des surfaces qu’elle combine délicatement. Ces objets ou situations rencontrées sont à la fois périphériques et intimes. La photographe dresse ainsi un paysage de ses propres émerveillements dans des structures d’ordre et de hasard. Alors, elle peut associer la peau et l’herbe, les empreintes et les arbres tombés, les feux flamboyants et les vues ombragées. Car il s’agit de saisir la mince couche sensible entre les yeux et le cœur, qui fait du regard un espace de rencontre avec des formes, des objets, des sensations.


Deep state - Mathieu Desjardins
Pénurie - Zivo, Jérôme Meizoz
Le Choix du peuple - Nicolas Savary, Tilo Steireif
Un essai sur la typographie - Eric Gill
ARTZINES #1, Paris issue
[piʃaˈsɐ̃w̃] - antoine lefebvre editions,
interférence - 2 - maycec
Musée des Beaux-Arts - Pierre Martel
La traversée - Magali Brueder
Poétique d'une introspection visuelle - Jean-Charles Andrieu de Levis, Alex Barbier
Prose postérieure - Les commissaires anonymes
Manifeste d'intérieurs ; penser dans les médias élargis - Javier Fernández Contreras
Papier magazine n°06 - Coupe du monde
Talweg 6 - La distance
Florina Leinß - Ersatzteillager
Rasclose - Geoffroy Mathieu 





























