Eva Louisa Jonas photographie et rassemble des formes et des surfaces qu’elle combine délicatement. Ces objets ou situations rencontrées sont à la fois périphériques et intimes. La photographe dresse ainsi un paysage de ses propres émerveillements dans des structures d’ordre et de hasard. Alors, elle peut associer la peau et l’herbe, les empreintes et les arbres tombés, les feux flamboyants et les vues ombragées. Car il s’agit de saisir la mince couche sensible entre les yeux et le cœur, qui fait du regard un espace de rencontre avec des formes, des objets, des sensations.


Critique d'art n°55
Temps d'arrêt - Etienne Buyse
Optical Sound 3
Graphure et Peintrisme n°2 - B. Bonnemaison-Fitte, G. Pithon et M. Kanstad Johnsen
La peinture c'est comme les pépites - Pierre Yves-Hélou + Tirage
Sights - Henry McCausland
Hobo Nickel - Damien Sauvage
Pour une esthétique de l'émancipation - Isabelle Alfonsi
Dark optics - David Claerbout
Manifeste d'intérieurs ; penser dans les médias élargis - Javier Fernández Contreras
Poétique d'une introspection visuelle - Jean-Charles Andrieu de Levis, Alex Barbier
Watch out - Anne-Émilie-Philippe
Le Choix du peuple - Nicolas Savary, Tilo Steireif
Pureté et impureté de l’art. Michel Journiac et le sida Antoine Idier
Je ne peux pas ne pas - Geneviève Romang
Le dos des choses - Guillaume Goutal
twen [1959–1971]
Photographic Fields - Joël Van Audenhaege
A l'origine - Anne-Émilie-Philippe
Darkest Night - Joel Van Audenhaege
Le corps travesti - Michel Journiac
Prototype 02 - morcellement
Image Canoë - Jérémie Gindre
SKKS - Gilles Pourtier 





























