“Le 22 février 2018, mon père m’écrit une lettre.
Elle devient le point de départ de ma série “La nuit, tu mens.
Depuis ce jour, en transportant ma chambre photographique et mes décors, j’avance en construisant chaque image.
Elles sont toutes pensées sous forme de petits schémas.
Puis, vient la fabrication de chaque élément qui la compose, la prise de vue n’est qu’une finalité.”

“Il y a dans les photographies d’Ambre quelque chose qui échappe à toute description. C’est la création d’un langage photographique à part, d’un code nouveau qui mêlerait une symbolique ésotérique inventée, des codes mystérieux qui seraient ceux d’une communauté hypersensible et bouleversée, d’une chorégraphie des corps et des objets qui évoque l’impudeur à laquelle on nous oblige quand le dialogue est empêché.”
Issu de la matinale de RadioCampusBruxelles par David Le Simple (1h17′)

L’Écureuil de James - Alice Brière-Haquet, Liuna Virardi
Forsythia, Lilac and Geranium - Raffaella della Olga, Camila Oliveira Fairclough, Elsa Werth
Anderlecht — Molenbeek - Pierre Blondel
Der Erste Rotkehlchen - Le livre
CURIOSITY — David Lynch
movement in squares - Stefanie Leinhos
Le dos des choses - Guillaume Goutal
Il était deux fois - Gary Colin
Prose postérieure - Les commissaires anonymes
Les passagers de la ligne 9, journal de bord - Charlie Chine
Temps d'arrêt - Etienne Buyse
Dédale - Laurent Chardon
Seoul Flowers & Trees - tribute to Lee Friedlander
Photographic Fields - Joël Van Audenhaege 













