“Le 22 février 2018, mon père m’écrit une lettre.
Elle devient le point de départ de ma série “La nuit, tu mens.
Depuis ce jour, en transportant ma chambre photographique et mes décors, j’avance en construisant chaque image.
Elles sont toutes pensées sous forme de petits schémas.
Puis, vient la fabrication de chaque élément qui la compose, la prise de vue n’est qu’une finalité.”

“Il y a dans les photographies d’Ambre quelque chose qui échappe à toute description. C’est la création d’un langage photographique à part, d’un code nouveau qui mêlerait une symbolique ésotérique inventée, des codes mystérieux qui seraient ceux d’une communauté hypersensible et bouleversée, d’une chorégraphie des corps et des objets qui évoque l’impudeur à laquelle on nous oblige quand le dialogue est empêché.”
Issu de la matinale de RadioCampusBruxelles par David Le Simple (1h17′)

Der Erste Rotkehlchen - Le livre
SKKS - Gilles Pourtier
Dark optics - David Claerbout
Acteurs d'un film gravé. Docteur A. Infirmier O. - Annabelle Dupret, Olivier Deprez et Adolpho Avril
Étrangement seuls - Jean-Pascal Princiaux
Assembly - Sam Porritt
Les Grands Ensembles - Léo Guy-Denarcy
Roven n°4
A Journal of Militant Sound Inquiry – Vol. 1 – Naming the Moment - Ultra-red
Délié - Baptiste Oberson
Tomber dans l'escalier - Jasper Sebastian Stürup
Génération dakou - Yann Jun + CD
Temps d'arrêt - Etienne Buyse
Saveurs imprévues et secrètes - Gilbert Lascault
CURIOSITY — David Lynch
Jardín de mi padre - Luis Carlos Tovar
Du Fennec au Sahara - Guillaume Pinard 













