À l’encre lazuli, faiblement mais sans faillir, Pauline Drand a tracé ce long poème où se répondent des traits de couleurs primaires. Visions d’enfance, fragments de discours amoureux, musiques salvatrices et lumineux espoirs.
Les Faits bleus mentent : ils échappent à une interprétation directe. Un manque se devine au cœur de cette succession d’images. La langue simple qui les porte invite à les relire muni d’un indice, sorte de règle du jeu donnée a priori par Mallarmé : « Cher Ennui, pour boucher d’une main jamais lasse / Les grands trous bleus que font méchamment les oiseaux. »
IMS011 — 28 p. — 100 × 160 mm

Sans titre - Chris Kiss
Goodbye - Hsia-Fei Chang, Sofia Eliza Bouratsis, Medhi Brit, Enrico Lunghi
Origine Séfarade - 1995 - 1997 - Laurence Kourcia
Fluent - Laëticia Donval
Cruiser l'utopie – L'après et ailleurs de l'advenir queer - José Esteban Muñoz
Le dos des choses - Guillaume Goutal
La beauté d'une musique qui ne compte pas - Kenneth Gaburo 





