À l’encre lazuli, faiblement mais sans faillir, Pauline Drand a tracé ce long poème où se répondent des traits de couleurs primaires. Visions d’enfance, fragments de discours amoureux, musiques salvatrices et lumineux espoirs.
Les Faits bleus mentent : ils échappent à une interprétation directe. Un manque se devine au cœur de cette succession d’images. La langue simple qui les porte invite à les relire muni d’un indice, sorte de règle du jeu donnée a priori par Mallarmé : « Cher Ennui, pour boucher d’une main jamais lasse / Les grands trous bleus que font méchamment les oiseaux. »
IMS011 — 28 p. — 100 × 160 mm

Poster Tribune # 11
Photographic Fields - Joël Van Audenhaege
Pénurie - Zivo, Jérôme Meizoz
Dernier royaume - Quentin Derouet
Musique pour les yeux - Johann Bertrand Dhy
À partir de n°3 - Collectif
L'arum tacheté de J-M. Bertoyas
Mökki n°4
Le lacéré anonyme - Jacques Villeglé
Superbemarché - Coll.
Paris la Consciencieuse : Paris la Guideuse du monde - Frédéric Bruly Bouabré
Echangisme et Seconde main - Fanny Laulaigne
Problèmes de localisation - Élise Legal 





