À l’encre lazuli, faiblement mais sans faillir, Pauline Drand a tracé ce long poème où se répondent des traits de couleurs primaires. Visions d’enfance, fragments de discours amoureux, musiques salvatrices et lumineux espoirs.
Les Faits bleus mentent : ils échappent à une interprétation directe. Un manque se devine au cœur de cette succession d’images. La langue simple qui les porte invite à les relire muni d’un indice, sorte de règle du jeu donnée a priori par Mallarmé : « Cher Ennui, pour boucher d’une main jamais lasse / Les grands trous bleus que font méchamment les oiseaux. »
IMS011 — 28 p. — 100 × 160 mm

Sans-Titre - Laurens Van'T Riet
WREK The Algorithm! - Aarnoud Rommens, Olivier Deprez
In the presence of being absent... Arrgh. - Stéphanie Leinhos
Oasis - Stéphane Ruchaud, Christophe Honoré
Un cheval, des silex - Benoît Maire, Sally Bonn
Autodrône - Divine Vizion
Deep state - Mathieu Desjardins
Turlupin N°1 \ Soumission — Michael Dans
Migrant Mother, Migrant Gender - Sally Stein
How to Become the Daughters of Darkness - Coll. 





