À l’encre lazuli, faiblement mais sans faillir, Pauline Drand a tracé ce long poème où se répondent des traits de couleurs primaires. Visions d’enfance, fragments de discours amoureux, musiques salvatrices et lumineux espoirs.
Les Faits bleus mentent : ils échappent à une interprétation directe. Un manque se devine au cœur de cette succession d’images. La langue simple qui les porte invite à les relire muni d’un indice, sorte de règle du jeu donnée a priori par Mallarmé : « Cher Ennui, pour boucher d’une main jamais lasse / Les grands trous bleus que font méchamment les oiseaux. »
IMS011 — 28 p. — 100 × 160 mm

OKATAOKA MEETS FOLK ART SERIES “HELLO MEXICO”
Titties - Nour Hifaoui
Parallélisme - Nicolas Nadé
I Am Not I - Boris Mikhailov
IBM – Graphic Design Guide from 1969 to 1987
Autodrône - Divine Vizion
Rocher du Ciel - Martin Desinde 





