À l’encre lazuli, faiblement mais sans faillir, Pauline Drand a tracé ce long poème où se répondent des traits de couleurs primaires. Visions d’enfance, fragments de discours amoureux, musiques salvatrices et lumineux espoirs.
Les Faits bleus mentent : ils échappent à une interprétation directe. Un manque se devine au cœur de cette succession d’images. La langue simple qui les porte invite à les relire muni d’un indice, sorte de règle du jeu donnée a priori par Mallarmé : « Cher Ennui, pour boucher d’une main jamais lasse / Les grands trous bleus que font méchamment les oiseaux. »
IMS011 — 28 p. — 100 × 160 mm

Tomber dans l'escalier - Jasper Sebastian Stürup
Radio-Art - Tetsuo Kogawa
Before Science - Gilles Pourtier, Anne-Claire Broc'h
Optical Sound 2
Pénurie - Zivo, Jérôme Meizoz
Le dos des choses - Guillaume Goutal
It was a good day - Jeremy Le Corvaisier
Slanted 30 - Athens
Anarchitecte - Olivier Verdique alias Alvar Le Corvanderpius
Le corps travesti - Michel Journiac
Nudism in a Cold Climate - Annebella Pollen
Strannberg – The Chauvinist Manifesto - Samuel Nyholm / Sany
Une livre - Christine Demias
Stéréo couleurs - Atelier Bingo
Rocher du Ciel - Martin Desinde 





