À l’encre lazuli, faiblement mais sans faillir, Pauline Drand a tracé ce long poème où se répondent des traits de couleurs primaires. Visions d’enfance, fragments de discours amoureux, musiques salvatrices et lumineux espoirs.
Les Faits bleus mentent : ils échappent à une interprétation directe. Un manque se devine au cœur de cette succession d’images. La langue simple qui les porte invite à les relire muni d’un indice, sorte de règle du jeu donnée a priori par Mallarmé : « Cher Ennui, pour boucher d’une main jamais lasse / Les grands trous bleus que font méchamment les oiseaux. »
IMS011 — 28 p. — 100 × 160 mm

Slanted 24 - Istanbul
Close encounters of the hand and glove
Mökki n°2
Strange Design - Ed. Jehanne Dautrey et Emanuele Quinz.
Sébastien - Antoine Orand
16 x 421 - Lorraine Druon
Imagos - Noémie Lothe
Comment quitter la terre ? - Jill Gasparina, Christophe Kihm, Anne-Lyse Renon
Ravedeath Convention - Jan Philipzen
Perturbations - Rosaire Appel
KUHANE O TE AKI - Stephie Devred
Do insects play ? - Johanna Tagada Hoffbeck
Green (or moles on a golf course) - Aslak Gurholt
Farandole - Jérémie Fischer
La Typographie Moderne - Robin Kinross
Rocher du Ciel - Martin Desinde
She is warm - Iringo Demeter
Critique d'art n°55
Les ratons laveurs - Sophie Couderc 





