À l’encre lazuli, faiblement mais sans faillir, Pauline Drand a tracé ce long poème où se répondent des traits de couleurs primaires. Visions d’enfance, fragments de discours amoureux, musiques salvatrices et lumineux espoirs.
Les Faits bleus mentent : ils échappent à une interprétation directe. Un manque se devine au cœur de cette succession d’images. La langue simple qui les porte invite à les relire muni d’un indice, sorte de règle du jeu donnée a priori par Mallarmé : « Cher Ennui, pour boucher d’une main jamais lasse / Les grands trous bleus que font méchamment les oiseaux. »
IMS011 — 28 p. — 100 × 160 mm

Courir - David Simpson
L'amour/Mon ange - Brûle et / Demange - Samoth Trauberchel
Wayfaring - Patrick Messina, André S. Labarthe
Folding Space Ship - ottoGraphic
Lucky Me - Eva Rotreklová & Jules Janssen
Rois de la forêt - Alain Garlan
Le dos des choses - Guillaume Goutal
Objets Minces - Collectif
La Typographie Moderne - Robin Kinross
JJ – Tartine-moi et autres textes - Jill Johnston
We want to look up at the Sun, but could the Sun be looking down on us? - Rudy Guedj & Olivier Goethals
La prise - Florian Javet
interférence - 3 - maycec
Sans titre - Benjamin Hartmann
Turbo Decompress - Coll.
Délié - Baptiste Oberson
Trous gris - Michel Vachey
Cosmopolites - Christoffer Ellegaard
Aube - Caroline Bachmann
Critique d'art n°55
Anthologie Douteuses (2010—2020) - Élodie Petit & Marguerin Le Louvier 





