À l’encre lazuli, faiblement mais sans faillir, Pauline Drand a tracé ce long poème où se répondent des traits de couleurs primaires. Visions d’enfance, fragments de discours amoureux, musiques salvatrices et lumineux espoirs.
Les Faits bleus mentent : ils échappent à une interprétation directe. Un manque se devine au cœur de cette succession d’images. La langue simple qui les porte invite à les relire muni d’un indice, sorte de règle du jeu donnée a priori par Mallarmé : « Cher Ennui, pour boucher d’une main jamais lasse / Les grands trous bleus que font méchamment les oiseaux. »
IMS011 — 28 p. — 100 × 160 mm

Il est si difficile de trouver le commencement - Helen Thorington
Escape - Makiko Minowa
Travaux Discrets (d'après Brueghel) - Éric Watier
Spécimen Typographique : No Ko - Loris Pernoux
À partir de n°1 - Coll.
Titties - Nour Hifaoui
Sans-Titre - Laurens Van'T Riet
moj’am al arabeia - Farah Khelil & antoine lefebvre editions
Titanic Orchestra - Julien Mauve
Pik Nik à Talinn - Thomas Chmp
Der Erste Rotkehlchen - Le livre
Shanghai Cosmetic - Leslie Moquin
Fournitures - Julien Gobled
LSD n° 04 – A manga issue
Auprès, au sein — Julien Van Anholt 





