Nous avons, pendant notre semaine de résidence sur place, réalisé une installation comprenant une peinture murale, des suspensions de draps sérigraphiés et un élément central proche de la sculpture.
L’idée était de questionner la figure du fantôme comme métaphore de l’humain dépossédé.
L’édition du même nom pensée et imprimée elle aussi à la Fanzinothèque comprend un texte fictif dont l’installation se fait l’écho.

I am a ghost, we all are.
This is what defined us best.
We are these figures with desperate gestures,
with lost consistency.
We have been dispossessed
of our individualities, of our desires, of our will,
of our bodies.
We are these shapes without contours, diffuse.
We float without interest,
but, it seems to us, with reason.
We are these voices without mouths,

La construction - Perrine Le Querrec
Illusive prosody - Alex Beaurain
Le déclin du professeur de tennis - Fabienne Radi
Bacon le Cannibale - Perrine Le Querrec
America - Ayline Olukman, Hélène Gaudy
Saint Julien l'hospitalier Tome 1 - Claire Pedot
Hmm ! - C. de Trogoff
Plus c'est facile, plus c'est beau : prolégomènes à la plus belle exposition du monde - Éric Watier
Le Monde en situation - Vanessa Theodoropoulou
Gros Gris n°4 - Duel
La prise - Florian Javet
The Shelf - Journal 3
Critique d'art n°55
Papier magazine n°06 - Coupe du monde
Dédale - Laurent Chardon
interférence - 2 - maycec
Jardín de mi padre - Luis Carlos Tovar
Crise de foie - Christine Demias
Roven n°4 













