Le travail de Philippe Weisbecker est une recherche de la simplicité, et de l’essentiel des sujets qu’il dessine. On perçoit une attention, une humilité, et un plaisir à retranscrire honnêtement le réel le plus prosaïque, celui de sa cuisine, de sa rue ou des rayons de la quincaillerie du quartier. En magasinier bien organisé, Philippe Weisbecker procède par série. Ici encore, avec un ensemble de gares et de petits transformateurs électriques. Joyo Oh ? Le nom du fabriquant espagnol de ces jouets ferroviaires, reproduits dans le facsimilé fidèle d’un cahier de dessin réalisé en 2019.


Poétique d'une introspection visuelle - Jean-Charles Andrieu de Levis, Alex Barbier
Tomber dans l'escalier - Jasper Sebastian Stürup
MegaOctet Verbateam
Gros Gris n°4 - Duel
52 vendredis — Léonore Emond, Damien Duparc, Yaïr Barelli et Charlotte York
ADBC du Dessin - Jacques Floret
Editer l’art – Leszek Brogowski
Musée des Beaux-Arts - Pierre Martel
Tanière de lune - Maria-Mercé Marçal
Une généalogie des grandes oreilles - Lauren Tortil
Lavalse des tambours - Paul Rey
Économies silencieuses et audaces approximatives - Guy Chevalier [& coll.]
Les voiles de Sainte-Marthe - Christian Rosset
Dear Paul - Paul Van der Eerden 









