Le travail de Philippe Weisbecker est une recherche de la simplicité, et de l’essentiel des sujets qu’il dessine. On perçoit une attention, une humilité, et un plaisir à retranscrire honnêtement le réel le plus prosaïque, celui de sa cuisine, de sa rue ou des rayons de la quincaillerie du quartier. En magasinier bien organisé, Philippe Weisbecker procède par série. Ici encore, avec un ensemble de gares et de petits transformateurs électriques. Joyo Oh ? Le nom du fabriquant espagnol de ces jouets ferroviaires, reproduits dans le facsimilé fidèle d’un cahier de dessin réalisé en 2019.


Vandalisme Queer - Sara Ahmed
Un essai sur la typographie - Eric Gill
Un cahier - Michel Quarez
Dada à Zurich – Le mot et l’image (1915-1916)Hugo Ball
Syrtis Major - Barbara Meuli, Antoine Fischer
Amos Gitai et l'enjeu des archives - Jean-Michel Frodon
Betty Tompkins - Raw Material
Lazy Painter - Angela Gjergjaj, Jordi Bucher and Mirco Petrini
Délié - Baptiste Oberson
Artzines # 10 - Show & Tell #2 NY Special
Roven n°4
Good Company - Paul Van der Eerden
Le dos des choses - Guillaume Goutal 









