Le travail de Philippe Weisbecker est une recherche de la simplicité, et de l’essentiel des sujets qu’il dessine. On perçoit une attention, une humilité, et un plaisir à retranscrire honnêtement le réel le plus prosaïque, celui de sa cuisine, de sa rue ou des rayons de la quincaillerie du quartier. En magasinier bien organisé, Philippe Weisbecker procède par série. Ici encore, avec un ensemble de gares et de petits transformateurs électriques. Joyo Oh ? Le nom du fabriquant espagnol de ces jouets ferroviaires, reproduits dans le facsimilé fidèle d’un cahier de dessin réalisé en 2019.


Shanghai Cosmetic - Leslie Moquin
Augure - Rodrigue de Ferluc
lebondieu - Claude Grétillat
L'arum tacheté de J-M. Bertoyas
À partir de n°1 - Coll.
Lazy Painter - Angela Gjergjaj, Jordi Bucher and Mirco Petrini
Holyhood, vol. 1 — Guadalupe, California - Alessandro Mercuri
Après la révolution – numéro 1
Critique d'art n°56
Aurore Colbert - Marie Mons
Sans titre - Benjamin Hartmann
Lavalse des tambours - Paul Rey
Papier magazine n°06 - Coupe du monde
Deep state - Mathieu Desjardins
Saint Julien l'hospitalier Tome 2 - Claire Pedot 









