Le travail de Philippe Weisbecker est une recherche de la simplicité, et de l’essentiel des sujets qu’il dessine. On perçoit une attention, une humilité, et un plaisir à retranscrire honnêtement le réel le plus prosaïque, celui de sa cuisine, de sa rue ou des rayons de la quincaillerie du quartier. En magasinier bien organisé, Philippe Weisbecker procède par série. Ici encore, avec un ensemble de gares et de petits transformateurs électriques. Joyo Oh ? Le nom du fabriquant espagnol de ces jouets ferroviaires, reproduits dans le facsimilé fidèle d’un cahier de dessin réalisé en 2019.


Saint Julien l'hospitalier Tome 1 - Claire Pedot
A l'origine - Anne-Émilie-Philippe
De l'objet (comme un parcours) - Collectif, Sandra Chamaret
Pas vu Pas pris - Collectif, Olivier Deloignon, Guillaume Dégé
Roven n°4
Good Company - Paul Van der Eerden
Critique d'art n°56
Titanic Orchestra - Julien Mauve
Dédale - Laurent Chardon
Travaux Discrets (d'après Brueghel) - Éric Watier
Rue Englelab, La révolution par les livres - Iran 1979 - 1983 - Hannah Darabi
Three Dice - Aymeric Vergnon
Un cahier - Michel Quarez
Rasclose - Geoffroy Mathieu
Pectus Excavatum - Quentin Yvelin
WREK The Algorithm! - Aarnoud Rommens, Olivier Deprez - FR
Piano - Joseph Charroy
Le blanc nez - Fouss Daniel 









