— Il y a un moment où il faut sortir les couteaux.
C’est sur ce constat sans appel que s’ouvre le très bref texte de Christiane Rochefort, Définition de l’opprimé.
Paru en 1971 en présentation du S.C.U.M. Manifesto de Valerie Solanas (première traduction française par Emmanuelle de Lesseps, éditions La nouvelle société, collection olympia), il a été supprimé de toutes les rééditions qui ont suivi, remplacé par des préfaces et postfaces moins heureuses, sans doute alors jugées plus actuelles par leurs différents éditeurs.
En 2021, avec l’aimable autorisation de l’ayant droit de Christiane Rochefort, les éditions les vilains publient pour la première fois ce texte pour lui-même, convaincues qu’il faut plus que jamais définir les mots que l’on emploie et espérant contribuer à faire vivre la puissance sobre et radicale de Christiane Rochefort.

Titanic Orchestra - Julien Mauve
Titties - Nour Hifaoui
Berlin Khaltura - Iliazd
Gnose & Gnose & Gnose - Aymeric Vergnon-d'Alençon
Rue Englelab, La révolution par les livres - Iran 1979 - 1983 - Hannah Darabi
Feminae Explorarum - Ingrīda Pičukān
Turlupin N°1 \ Soumission — Michael Dans
ICCMHW - Atelier Choque Le Goff
Critique & création - L.L. de Mars
MENU メニュー - Wataru Tominaga
Turbo Decompress - Coll.
Pik Nik à Talinn - Thomas Chmp
La Typographie post-binaire au delà de l'écriture inclusive - Camille Circlude
Promenade au pays de l'écriture - Armando Petrucci
Le museau de mes amies m’amuse - Jehane Mahmoud
Poèmes - Yvonne Rainer
Dernier royaume - Quentin Derouet
Quand l’ocean se retire d’Henri C. - Billiam C. et Camille Carbonaro
La Fête - Damien Tran
Ravedeath Convention - Jan Philipzen
Tempête après tempête - Rebekka Deubner
Sights - Henry McCausland 

