Outil graphique servant de grille de lecture pour appréhender l’œuvre de Boccace, le Décaméron. Il permet de s’approprier cette œuvre de façon ludique et matérialise des hypothèses dramaturgiques pour sa mise en scène.
Ce projet a accompagné la création du spectacle « Farewell, Empire ! », inspiré librement du Décaméron et joué au Théâtre National de Strasbourg les 6, 7 et 8 avril 2017.
Le Décaméron, écrit par Boccace en 1348, c’est 100 histoires racontées par 10 jeunes gens pendant 10 jours pour se sauver de la Peste qui sévit à Florence. Pour sa mise en scène, j’ai décodé la structure interne du récit et je l’ai traduite visuellement par un système de signes simples.
Classées, combinées, déployées, développées, ces formes organisées synthétisent visuellement les différentes histoires ; elles manifestent la géométrie qui les constitue ; identifient une structure sociale et narrative ; permettent de s’approprier le récit pour mieux le jouer et de rassembler une équipe autour d’un langage graphique commun .

Le blanc nez - Fouss Daniel
Turbo Decompress - Coll.
It was a good day - Jeremy Le Corvaisier
Critique d'art n°55
Eurob0ys Crysis - Massimiliano Bomba, Leon Sadler, Yannick Val Gesto
Radio-Art - Tetsuo Kogawa
Slanted 30 - Athens
Strates - Else Bedoux
Who Are You Dorothy Dean? - Edited by / Edité par Anaïs Ngbanzo.
Village - Julie Safirstein
Off the Grid - Anna Niklova
WREK The Algorithm! - Aarnoud Rommens, Olivier Deprez
Manifeste d'intérieurs ; penser dans les médias élargis - Javier Fernández Contreras
Wayfaring - Patrick Messina, André S. Labarthe
Followers - Agnès Wyler
Optical Sound 3
Titanic Orchestra - Julien Mauve
Quand l’ocean se retire d’Henri C. - Billiam C. et Camille Carbonaro
Dictionary - Claude Closky
Salt Crystal - Fabio Parizzi
9 octobre 1977 - Roberto Varlez
Anderlecht — Molenbeek - Pierre Blondel
Citrus maxima xparadisi - coll.
Cruiser l'utopie – L'après et ailleurs de l'advenir queer - José Esteban Muñoz
Ce qu'est ce que - Gabriel Hibert
Gros Gris n°4 - Duel
Après la révolution – numéro 1
Pureté et impureté de l’art. Michel Journiac et le sida Antoine Idier 















