Depuis des années, David Claerbout accompagne ses œuvres de commentaires sur la sphère visuelle et intellectuelle dans laquelle elles s’inscrivent. Au centre de ses réflexions figure la rupture de l’accord que nous avions passé de manière tacite autour d’images supposées objectives, car produites selon les lois de l’optique et de la photographie. Or, à l’ère des deep fakes calculés, instantanés et automatiques, ce qu’il nomme dark optics se passe de toute négociation avec le « réel », renouant paradoxalement avec la pure invention de la peinture figurative antérieure au XIXe siècle, voire avec les théories de la vision antiques et médiévales. Ces témoignages d’un constructeur d’images sont ici délivrées sous la forme d’un carnet de dessin.
160 pages.


Musique pour les yeux - Johann Bertrand Dhy
Graphure et Peintrisme n°2 - B. Bonnemaison-Fitte, G. Pithon et M. Kanstad Johnsen
Halogénure #04
Travaux Discrets (d'après Brueghel) - Éric Watier
Bambi # 4 - Collectif
Dernier royaume - Quentin Derouet
Radio-Art - Tetsuo Kogawa
La vallée - la brèche - Tania Maria Elisa
Slikmiks - Mikkel Sommer / Mekl
Perturbations - Rosaire Appel
Theatre - Dan Graham
Absorber les fantômes - coll
Amos Gitai et l'enjeu des archives - Jean-Michel Frodon
Off the Grid - Anna Niklova
Pour voir, Emscher Park - Gaëtane Lamarche-Vadel
Dessins pour Rugir - Virginie Rochetti
Aurore Colbert - Marie Mons
Optical Sound 2
Shanghai Cosmetic - Leslie Moquin
Three Dice - Aymeric Vergnon
Critique d'art n°56
Seoul Flowers & Trees - tribute to Lee Friedlander
Étrangement seuls - Jean-Pascal Princiaux 







