Depuis des années, David Claerbout accompagne ses œuvres de commentaires sur la sphère visuelle et intellectuelle dans laquelle elles s’inscrivent. Au centre de ses réflexions figure la rupture de l’accord que nous avions passé de manière tacite autour d’images supposées objectives, car produites selon les lois de l’optique et de la photographie. Or, à l’ère des deep fakes calculés, instantanés et automatiques, ce qu’il nomme dark optics se passe de toute négociation avec le « réel », renouant paradoxalement avec la pure invention de la peinture figurative antérieure au XIXe siècle, voire avec les théories de la vision antiques et médiévales. Ces témoignages d’un constructeur d’images sont ici délivrées sous la forme d’un carnet de dessin.
160 pages.


Saint Julien l'hospitalier Tome 2 - Claire Pedot
Pectus Excavatum - Quentin Yvelin
L'inventaire des destructions - Éric Watier
Titanic Orchestra - Julien Mauve
Imagos - Noémie Lothe
Wayfaring - Patrick Messina, André S. Labarthe
Halogénure # 02
Musée des Beaux-Arts - Pierre Martel
Dédale - Laurent Chardon
akaBB - tribute to Roni horn
Seoul Flowers & Trees - tribute to Lee Friedlander
Le singe et le bijoux - Roxane Lumeret
Der Erste Rotkehlchen - Le livre
Photographic Fields - Joël Van Audenhaege
Le Choix du peuple - Nicolas Savary, Tilo Steireif
interférence - 2 - maycec
Flower finds - Orianne Jeanselme
Illusive prosody - Alex Beaurain
Deep state - Mathieu Desjardins
Le corps travesti - Michel Journiac
Holy etc. - Fabienne Radi 







