Depuis des années, David Claerbout accompagne ses œuvres de commentaires sur la sphère visuelle et intellectuelle dans laquelle elles s’inscrivent. Au centre de ses réflexions figure la rupture de l’accord que nous avions passé de manière tacite autour d’images supposées objectives, car produites selon les lois de l’optique et de la photographie. Or, à l’ère des deep fakes calculés, instantanés et automatiques, ce qu’il nomme dark optics se passe de toute négociation avec le « réel », renouant paradoxalement avec la pure invention de la peinture figurative antérieure au XIXe siècle, voire avec les théories de la vision antiques et médiévales. Ces témoignages d’un constructeur d’images sont ici délivrées sous la forme d’un carnet de dessin.
160 pages.


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Lili, la rozell et le marimba / revue n°2
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Klima Pages #2 — Somptueuses Résidences
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Illusive prosody - Alex Beaurain
Je ne peux pas ne pas - Geneviève Romang
Before Science - Gilles Pourtier, Anne-Claire Broc'h
ARTZINES #1, Paris issue
Gnose & Gnose & Gnose - Aymeric Vergnon-d'Alençon
Saint Julien l'hospitalier Tome 1 - Claire Pedot
Gros Gris n°4 - Duel
Temps d'arrêt - Etienne Buyse
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