Depuis des années, David Claerbout accompagne ses œuvres de commentaires sur la sphère visuelle et intellectuelle dans laquelle elles s’inscrivent. Au centre de ses réflexions figure la rupture de l’accord que nous avions passé de manière tacite autour d’images supposées objectives, car produites selon les lois de l’optique et de la photographie. Or, à l’ère des deep fakes calculés, instantanés et automatiques, ce qu’il nomme dark optics se passe de toute négociation avec le « réel », renouant paradoxalement avec la pure invention de la peinture figurative antérieure au XIXe siècle, voire avec les théories de la vision antiques et médiévales. Ces témoignages d’un constructeur d’images sont ici délivrées sous la forme d’un carnet de dessin.
160 pages.


L'inventaire des destructions - Éric Watier
Eros negro #2 - Demoniak
Piano - Joseph Charroy
Critique & création - L.L. de Mars
BIC011 Montes - Braulio Amado
In The Navy - Julien Kedryna
Radio-Art - Tetsuo Kogawa
Eros negro n°4 - Démoniak
Entretiens – Jérôme Dupeyrat
Image Canoë - Jérémie Gindre
Goodbye - Hsia-Fei Chang, Sofia Eliza Bouratsis, Medhi Brit, Enrico Lunghi
Pectus Excavatum - Quentin Yvelin
Je ne peux pas ne pas - Geneviève Romang
Hérésie Étiologique - coll.
Salt Crystal - Fabio Parizzi
A Journal of Militant Sound Inquiry – Vol. 1 – Naming the Moment - Ultra-red
Sillo n°3 - Le Fauve
Berlin Design Digest
16 x 421 - Lorraine Druon
Répliques - Claude Gretillat
Polyphème (d'après Euripide) - J. & E. LeGlatin
Ellipse - Ismail Alaoui-Fdili
Avec ce qu'il resterait à dire - Anne Maurel 







