Depuis des années, David Claerbout accompagne ses œuvres de commentaires sur la sphère visuelle et intellectuelle dans laquelle elles s’inscrivent. Au centre de ses réflexions figure la rupture de l’accord que nous avions passé de manière tacite autour d’images supposées objectives, car produites selon les lois de l’optique et de la photographie. Or, à l’ère des deep fakes calculés, instantanés et automatiques, ce qu’il nomme dark optics se passe de toute négociation avec le « réel », renouant paradoxalement avec la pure invention de la peinture figurative antérieure au XIXe siècle, voire avec les théories de la vision antiques et médiévales. Ces témoignages d’un constructeur d’images sont ici délivrées sous la forme d’un carnet de dessin.
160 pages.


Lazy Painter - Angela Gjergjaj, Jordi Bucher and Mirco Petrini
SKKS - Gilles Pourtier
Il est si difficile de trouver le commencement - Helen Thorington
interférence - 2 - maycec
Radio-Art - Tetsuo Kogawa
Rasclose - Geoffroy Mathieu
Au chevet des milieux : L'émancipation par l'outil manuel - Yetecha Negga
Jérôme LeGlatin (avec Mel Crawford) - Le Crash
BEAUTY MEE EYE - Luc Natral
Distant Egghug - Peter McDonald
L'inventaire des destructions - Éric Watier
Capolavori - Livio Vacchini
Imagos - Noémie Lothe
Du Fennec au Sahara - Guillaume Pinard
Bienvenue à Colomeri ! - Hécate Vergopoulo, 







