Depuis des années, David Claerbout accompagne ses œuvres de commentaires sur la sphère visuelle et intellectuelle dans laquelle elles s’inscrivent. Au centre de ses réflexions figure la rupture de l’accord que nous avions passé de manière tacite autour d’images supposées objectives, car produites selon les lois de l’optique et de la photographie. Or, à l’ère des deep fakes calculés, instantanés et automatiques, ce qu’il nomme dark optics se passe de toute négociation avec le « réel », renouant paradoxalement avec la pure invention de la peinture figurative antérieure au XIXe siècle, voire avec les théories de la vision antiques et médiévales. Ces témoignages d’un constructeur d’images sont ici délivrées sous la forme d’un carnet de dessin.
160 pages.


De lave et de fer - Laurent Feynerou
In The Navy - Julien Kedryna
Bokkusu - Nigel Peake
Promenade au pays de l'écriture - Armando Petrucci
Ce que l'histoire fait au graphisme - Clémence Imbert
Strannberg – The Chauvinist Manifesto - Samuel Nyholm / Sany
Il est si difficile de trouver le commencement - Helen Thorington
Perles & Fracas - Bill Noir
Désolation - Verity Spott
Jérôme LeGlatin (avec Mel Crawford) - Le Crash
movement in squares - Stefanie Leinhos
Anthologie Douteuses (2010—2020) - Élodie Petit & Marguerin Le Louvier
Gros Gris n°4 - Duel
Seoul Flowers & Trees - tribute to Lee Friedlander
Le vieux père - Laurent Kropf 







