Le récit s’arrête là ou commence la collection. Dans Chien blanc du nord, serpent noir du midi, les dessins de Diane Malastesta existent à partir d’un ensemble d’archives qui ont toutes en commun un même espace-temps : l’Exposition coloniale de Marseille de 1922. L’espace architectural du parc devenu étranger, parfois dysfonctionnel, ne conserve que de réel ses ornements. Les acteurs et les visiteurs n’y figurent plus. La rêverie d’outre-mer se confond avec le mythe. En se revêtant d’artifices, l’image se souvient, témoigne et répand le mensonge.
The story ends where the collection begins. In her book Chien blanc du nord, serpent noir du midi, Diane Malatesta’s drawings exist from a set of archives that all have a special space and time in common: the 1922 colonial exhibition of Marseille. The architectural space of the park become unfamiliar, sometimes dysfunctional, it only preserves its ornaments. Actors and visitors no longer appear. The daydream of overseas confuses itself with the myth. By covering itself with artifices, the image remembers itself, it testifies and diffuses the lie.
Couv. : Symbol Freelife 200 g/m2
Int. : Arcoprint milk 100 g/m2
38 pages
130 exemplaires

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