Troisième élément ré-édité et notablement augmenté d’une série d’ouvrages qui s’attachent à dire à quoi tient le design, Travailler pour nous établit que ce qui s’est finalement appelé de ce mot, s’il a bien émergé dans le temps de la machination productive par Marx appelée « grande industrie », n’a pas acquiescé pour autant à l’économie majeure de cette machination. Ainsi ne s’est-il proposé d’en développer ni les usages ni les services. L’enjeu, qui demeure, était ailleurs. Il s’agissait, étant donnée la présence des machines, de travailler, vraiment travailler, avec elles, de faire porter sur la disposition des techniques une tension utile, d’opérer contre l’uniformité, bref de chercher la vivacité de l’époque en allant aux formes. Tout cela nous regarde encore. Quelles que soient la taille et la nature des puissances en jeu, il y allait de la présence, à soutenir encore, d’une courageuse résolution.
192 pages

Poétique d'une introspection visuelle - Jean-Charles Andrieu de Levis, Alex Barbier
Ilya Ehrenbourg - Et pourtant elle tourne
The Shelf - Journal 3
Radio-Art - Tetsuo Kogawa
Le dos des choses - Guillaume Goutal
Lili, la rozell et le marimba / revue n°2
Sillo n°3 - Le Fauve
La Typographie post-binaire au delà de l'écriture inclusive - Camille Circlude
Économies silencieuses et audaces approximatives - Guy Chevalier [& coll.]
De lave et de fer - Laurent Feynerou 

