Mystique des rues vides et peu éclatantes des banlieues pavillonnaires, ce court poème en prose interpelle par sa langue sombre. Dans une parodie de messe noire – beigeasse comme le crépis des façades –, Théo Robine-Langlois dépeint le monde mystérieux des maisons individuelles, du repli sur soi démonique, et des vieilles qui marmonnent entre leurs gencives au retour du marché, le panier plein de gros sel et de radis noirs en guise d’hostie. Les mots occitans qui ponctuent le texte comme des conjurations en accroissent l’escur.

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il y avait une ville - Laeticia L'Heureux
Je ne peux pas ne pas - Geneviève Romang
Titanic Orchestra - Julien Mauve
Saint Julien l'hospitalier Tome 3 - Claire Pedot
Pas vu Pas pris - Collectif, Olivier Deloignon, Guillaume Dégé
Papier magazine n°06 - Coupe du monde
Sillo n°3 - Le Fauve
Les Grands Ensembles - Léo Guy-Denarcy
Wayfaring - Patrick Messina, André S. Labarthe
Goodbye - Hsia-Fei Chang, Sofia Eliza Bouratsis, Medhi Brit, Enrico Lunghi
Eurob0ys Crysis - Massimiliano Bomba, Leon Sadler, Yannick Val Gesto
Économies silencieuses et audaces approximatives - Guy Chevalier [& coll.]
Editer l’art – Leszek Brogowski
Le blanc nez - Fouss Daniel 









