Mystique des rues vides et peu éclatantes des banlieues pavillonnaires, ce court poème en prose interpelle par sa langue sombre. Dans une parodie de messe noire – beigeasse comme le crépis des façades –, Théo Robine-Langlois dépeint le monde mystérieux des maisons individuelles, du repli sur soi démonique, et des vieilles qui marmonnent entre leurs gencives au retour du marché, le panier plein de gros sel et de radis noirs en guise d’hostie. Les mots occitans qui ponctuent le texte comme des conjurations en accroissent l’escur.

28 p

Idoine & Nayoung Kim
Mökki n°4
Manifeste d'intérieurs ; penser dans les médias élargis - Javier Fernández Contreras
Christina Forrer - Don’t Swallow Your Tongue
Artzines #12 Provo Special
Collection - Adélaïde Gaudéchoux
Pectus Excavatum - Quentin Yvelin
Titanic Orchestra - Julien Mauve
An Inventory Of - Daniele Franzella
Lumières - Guillaume Chauchat
MAN - Erik Kessels, Karel De Mulder
Autoportrait - Carla Lonzi
Illusive prosody - Alex Beaurain
Imagos - Noémie Lothe
Les Grands Ensembles - Léo Guy-Denarcy
Assembly - Sam Porritt
Lazy Painter - Angela Gjergjaj, Jordi Bucher and Mirco Petrini
Editer l’art – Leszek Brogowski
IMPROVISATION N. 190220 - Miki Lowe
Soleil, eau, vent : vers l'autonomie énergétique - Delphine Bauer
Gros Gris n°4 - Duel
Der Erste Rotkehlchen - Le livre
Les Climats II (Japon) - Lola Reboud, Mariko Takeuchi
Un cheval, des silex - Benoît Maire, Sally Bonn 









