Pierre La Police: Une esthétique de la malfaçon, est le fruit du travail rigoureux de deux universitaires, Livio Belloï et Fabrice Leroy, qui ont exploré et analysé l’œuvre de l’artiste et réfléchi à ses mécanismes narratifs, tant visuels qu’écrits, pendant plusieurs années. Un travail impressionnant, une somme érudite et précise étayée sur 66 pages par des exemples visuels extraits de son œuvre.
Une riche bibliographie sélective complète l’ensemble des informations.
Pierre La Police – Une esthétique de la malfaçon – Livio Belloï, Fabrice Leroy
40,00 €
Le fruit du travail rigoureux de deux universitaires, Livio Belloï et Fabrice Leroy, qui ont exploré et analysé l’œuvre de l’artiste
1 en stock
Poids | 550 g |
---|---|
Dimensions | 17 × 23 cm |
Vous aimerez peut-être aussi…
Image
Pas de texte ni de dialogue, une suite d'images retravaillées qui constituent un récit original à elles seules. Un travail totalement inédit.
Produits similaires
Art moderne
Vise à jeter un pont entre artistes russes et européens après la rupture de la guerre et de la révolution.
Dits & Écrits d'artistes
Une jeunesse allemande : Helmut Lachenmann
Bande Dessinée
Huit études historiques, critiques et pratiques décortiquent les relations étroites, teintées d’amour et/ou de haine, entre le cinéma et la bande dessinée.
Un an au 3 bis f, un centre d’art contemporain situé au cœur de l’hôpital psychiatrique Montperrin à Aix-en-Provence.
Ce catalogue s'intéresse aux productions d'artistes contemporains se situant dans une généalogie historique du réemploi d'images au XXe siècle.
Regards croisés d'artiste et de scientifique sur les l'évolution des liens entre robots et humains.
Essai art
« Créer ensemble les écritures qui se jouent conjointement — aller plus loin qu’une expression individuelle — une expression qui se joue au pluriel — une voix qui fait écho à l’autre puis se portent mutuellement — ceux qui mangent leur pain ensemble qui le partagent — Les Co-pains — ils sont nombreux » Avec ce quatrième numéro Copain, la revue Approche s’intéresse aux écritures collectives. [...]
Les littératures dessinées ou illustrées sont méconnues. Pas vu pas pris explore l’autre manière de l’illustration, celle qui ne peut se réduire à l’expression graphique « gratuite » et sirupeuse… et interroge le rapport de l’image dessinée à elle-même quant à ses limites, ses fonctions et son historicité.