« Ces images ne sont ni fenêtres, ni miroirs. Elles n’ouvrent pas sur un espace extérieur ; à peine perceptibles, on cherche à voir, non une sensation, un sentiment, une introspection : quinze versets visuels pour tromper l’ennui, conjurer le sort, le phlegme, la gueule-de-bois, la chance, la déprime, les aléas, le non-dit, les paris, les démons de la nuit, la maladie, peut-être la mort, comme des incantations impromptues. »
Antonio Guzman

Impossible de ne rien faire durant cette convalescence. Dormir, dix-huit heures, par journée, par épisodes, pour récupérer de l’énergie. Assommé par les médicaments et par le virus. Besoin de faire quelque chose de cette quarantaine forcée. Photographier, sans sujet, sans regard, sans stratégie. Choisir et ne pas choisir, choisir de ne pas intervenir. Faire des images pour guérir. 21 octobre 2017
40 pages
200 exemplaires

Comme si la nuit avait dévoré le Monde - Philippe Baudouin, Jean-Baptiste Carobolante
MegaOctet Verbateam
Du Fennec au Sahara - Guillaume Pinard
Notre condition. Essai sur le salaire au travail artistique – Aurélien Catin
Lili, la rozell et le marimba / revue n°2
Les Grands Ensembles - Léo Guy-Denarcy
Mökki n°4
Optical Sound 3
La mémoire de l’ordre. Les paradoxes du sens dans l’architecture moderne. - José Ignacio Linazasoro
Rasclose - Geoffroy Mathieu 















