Ma nature en tant qu’artiste est de fouiller puis de laisser des traces.
À partir d’émissions radiophoniques, d’émissions télévisées et de conférences, j’ai récolté des bribes de phrases, des morceaux d’informations qui m’ont percuté.

Les textes sont tirés de faits réels énoncés par des chercheurs, qui nous parlent de la complexité et de la fragilité du vivant. L’intelligence des plantes, de la terre et des animaux me fascine autant que la capacité de l’homme à détruire et à essayer de réparer.
Libres pensées d’une plante sauvage sur le monde est le fragment d’un monde en péril, malmené par l’homme mais aussi un rappel de la puissance extraordinaire du vivant.
La beauté a-t-elle une place en cette ère d’anthropocène et de rupture des équilibres naturels ? Telle est la question que je me pose.
François Cheng dit « Je suis persuadé que nous avons pour tâche urgente, et permanente, de dévisager ces deux mystères qui constituent les extrémités de l’univers vivant : d’un côté le mal ; de l’autre, la beauté. »

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