Eva Louisa Jonas photographie et rassemble des formes et des surfaces qu’elle combine délicatement. Ces objets ou situations rencontrées sont à la fois périphériques et intimes. La photographe dresse ainsi un paysage de ses propres émerveillements dans des structures d’ordre et de hasard. Alors, elle peut associer la peau et l’herbe, les empreintes et les arbres tombés, les feux flamboyants et les vues ombragées. Car il s’agit de saisir la mince couche sensible entre les yeux et le cœur, qui fait du regard un espace de rencontre avec des formes, des objets, des sensations.


Holy etc. - Fabienne Radi
Voir la Palestine, Contre-champs artistiques - Stefanie Baumann
Hérésie Étiologique - coll.
Gros Gris n°4 - Duel
La Vie moderne - Augustin Rebetez
La peinture c'est comme les pépites - Pierre Yves-Hélou + Tirage
Manifeste d'intérieurs ; penser dans les médias élargis - Javier Fernández Contreras
Temps d'arrêt - Etienne Buyse
Odette - Benoît Le Boulicaut
Illusive prosody - Alex Beaurain 





























