À proximité de Stephen Loye, l’attention est aimantée, on navigue dans un foisonnement nébuleux d’activités et d’idées. Les choses prennent vite des proportions. Intenses et directes. Stephen Loye opère par montage. Un montage d’images, d’événements, de mots.

Ses productions sont hypersensibles au présent, à ce qui se joue, à ce qui fait travailler l’humain, le monde, son organisation. Les rapports de pouvoir. La guerre. En mouvement permanent, les choses ne se fixent que pour mieux amener ailleurs comme autant d’étapes d’une redéfinition constante de l’ordre des choses. Né le 4 juin 1989, le jour du massacre de Tien An Men, il vit principalement dans les Alpes-de-Haute-Provence, à Digne-les-Bains.
72 p.

It was a good day - Jeremy Le Corvaisier
Bande Annonce - Cinéma & Bande Dessinée - Coll.
Pureté et impureté de l’art. Michel Journiac et le sida Antoine Idier
ICCMHW - Atelier Choque Le Goff
Salt Crystal - Fabio Parizzi
Aube - Caroline Bachmann
Gros Gris n°4 - Duel
Rond-point au mammouth - Sur une idée de Veit Stratmann 

