À proximité de Stephen Loye, l’attention est aimantée, on navigue dans un foisonnement nébuleux d’activités et d’idées. Les choses prennent vite des proportions. Intenses et directes. Stephen Loye opère par montage. Un montage d’images, d’événements, de mots.

Ses productions sont hypersensibles au présent, à ce qui se joue, à ce qui fait travailler l’humain, le monde, son organisation. Les rapports de pouvoir. La guerre. En mouvement permanent, les choses ne se fixent que pour mieux amener ailleurs comme autant d’étapes d’une redéfinition constante de l’ordre des choses. Né le 4 juin 1989, le jour du massacre de Tien An Men, il vit principalement dans les Alpes-de-Haute-Provence, à Digne-les-Bains.
72 p.

Le blanc nez - Fouss Daniel
Tools of Encouragement - Erlend Peder Kvam
Autodrône - Divine Vizion
AMONG THE TREES - LIVIA DE MAGISTRIS
BIC011 Montes - Braulio Amado
Détours - Vincent Chappuis
Le museau de mes amies m’amuse - Jehane Mahmoud
L’Écureuil de James - Alice Brière-Haquet, Liuna Virardi
Critique d'art n°55
Surface Tension - Tabitha Soren
Party Studies – Vol. 2 – Underground clubs, parallel structures and second cultures
Planète B - Gwenola Wagon
Escape - Makiko Minowa
Cruiser l'utopie – L'après et ailleurs de l'advenir queer - José Esteban Muñoz
L'internationale modique (AND 3) - J-M. Bertoyas
Gros Gris n°4 - Duel 

