À proximité de Stephen Loye, l’attention est aimantée, on navigue dans un foisonnement nébuleux d’activités et d’idées. Les choses prennent vite des proportions. Intenses et directes. Stephen Loye opère par montage. Un montage d’images, d’événements, de mots.

Ses productions sont hypersensibles au présent, à ce qui se joue, à ce qui fait travailler l’humain, le monde, son organisation. Les rapports de pouvoir. La guerre. En mouvement permanent, les choses ne se fixent que pour mieux amener ailleurs comme autant d’étapes d’une redéfinition constante de l’ordre des choses. Né le 4 juin 1989, le jour du massacre de Tien An Men, il vit principalement dans les Alpes-de-Haute-Provence, à Digne-les-Bains.
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Hmm ! - C. de Trogoff
The life of Ruben - Bernardo Sousa Santos
Perturbations - Rosaire Appel
Surface Tension - Tabitha Soren
Pas vu Pas pris - Collectif, Olivier Deloignon, Guillaume Dégé
MASKS - Damián Ortega
Retour d'y voir - n° 1 & 2 - Mamco
Pectus Excavatum - Quentin Yvelin
Ce que l'histoire fait au graphisme - Clémence Imbert
Absorber les fantômes - coll
Talweg 6 - La distance
Vacuité 9090 - Jérémy Piningre
À partir de n°1 - Coll.
Bokkusu - Nigel Peake
Ce qu'est ce que - Gabriel Hibert
La vallée - la brèche - Tania Maria Elisa
Échec et scotome - Jean Otth
Cruiser l'utopie – L'après et ailleurs de l'advenir queer - José Esteban Muñoz
Escape - Makiko Minowa
Menus Plaisirs - Lisa Mouchet
Idoine & Nayoung Kim 

