À l’encre lazuli, faiblement mais sans faillir, Pauline Drand a tracé ce long poème où se répondent des traits de couleurs primaires. Visions d’enfance, fragments de discours amoureux, musiques salvatrices et lumineux espoirs.
Les Faits bleus mentent : ils échappent à une interprétation directe. Un manque se devine au cœur de cette succession d’images. La langue simple qui les porte invite à les relire muni d’un indice, sorte de règle du jeu donnée a priori par Mallarmé : « Cher Ennui, pour boucher d’une main jamais lasse / Les grands trous bleus que font méchamment les oiseaux. »
IMS011 — 28 p. — 100 × 160 mm

Phasing Consequence - Louis Reith
Yerevan 1996/1997 - Ursula Schulz-Dornburg
Beatmap - Alex Besikian
10 MINUTES Architects and Designers in Conversation
Illusive prosody - Alex Beaurain
Collage - Laura McMorrow
Le corps travesti - Michel Journiac
Titanic Orchestra - Julien Mauve
Radio-Art - Tetsuo Kogawa
Le Gabion - Théo Robine-Langlois
La typographie des Penguin Classics - Andrew Barker
Économies silencieuses et audaces approximatives - Guy Chevalier [& coll.]
C'est les vacances n°2 - coll. dir. Eugénie Zely
Bacon le Cannibale - Perrine Le Querrec 





