À l’encre lazuli, faiblement mais sans faillir, Pauline Drand a tracé ce long poème où se répondent des traits de couleurs primaires. Visions d’enfance, fragments de discours amoureux, musiques salvatrices et lumineux espoirs.
Les Faits bleus mentent : ils échappent à une interprétation directe. Un manque se devine au cœur de cette succession d’images. La langue simple qui les porte invite à les relire muni d’un indice, sorte de règle du jeu donnée a priori par Mallarmé : « Cher Ennui, pour boucher d’une main jamais lasse / Les grands trous bleus que font méchamment les oiseaux. »
IMS011 — 28 p. — 100 × 160 mm

Optical Sound 3
A Journal of Militant Sound Inquiry – Vol. 1 – Naming the Moment - Ultra-red
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Superbemarché - Coll.
Aurore Colbert - Marie Mons
Marc's Souvenirs - Marc Hennes
Bokkusu - Nigel Peake
Pik Nik à Talinn - Thomas Chmp
16 x 421 - Lorraine Druon
Parallélisme - Nicolas Nadé
Eros negro #2 - Demoniak
Construire un lac, faire disparaître des cailloux, porter un chapeau - Damien Tran
Débris N°2 - Théo Garnier Greuez
RISO L’Écureuil de James - Liuna Virardi
Hmm ! - C. de Trogoff
Plant-Based Monster Trucks - Lina Müller, Luca Schenardi
Imagos - Noémie Lothe
Bacon le Cannibale - Perrine Le Querrec 





