À l’encre lazuli, faiblement mais sans faillir, Pauline Drand a tracé ce long poème où se répondent des traits de couleurs primaires. Visions d’enfance, fragments de discours amoureux, musiques salvatrices et lumineux espoirs.
Les Faits bleus mentent : ils échappent à une interprétation directe. Un manque se devine au cœur de cette succession d’images. La langue simple qui les porte invite à les relire muni d’un indice, sorte de règle du jeu donnée a priori par Mallarmé : « Cher Ennui, pour boucher d’une main jamais lasse / Les grands trous bleus que font méchamment les oiseaux. »
IMS011 — 28 p. — 100 × 160 mm

A l'origine - Anne-Émilie-Philippe
Tarwar - Ilan Manouach
Jardín de mi padre - Luis Carlos Tovar
Le vieux père - Laurent Kropf
La Romantica
Eros negro n°4 - Démoniak
Good Company - Paul Van der Eerden
L'abécédaire d'un typographe - Gerrit Noordzij; Jost Hochuli
Humoral Fortuities - Francesco Albano’s
Une généalogie des grandes oreilles - Lauren Tortil
Paravents - Eva Taulois
Le Dépli - Loïc Largier
Mapping Bookbinding Poster- Simon Ruault
Revue Les Saisons n°3
Pectus Excavatum - Quentin Yvelin
moj’am al arabeia - Farah Khelil & antoine lefebvre editions
Ce que l'histoire fait au graphisme - Clémence Imbert
Schindler Manifesto
Au chevet des milieux : L'émancipation par l'outil manuel - Yetecha Negga
AMONG THE TREES - LIVIA DE MAGISTRIS
L'internationale modique (AND 3) - J-M. Bertoyas
Green (or moles on a golf course) - Aslak Gurholt
May you Continue to Blossom - Alexandra Dautel
RÉVÉSZ LÁSZLÓ LÁSZLÓ , Not Secret
Oraison funèbre pour Zelda1990 - Romane Constant 





