À l’encre lazuli, faiblement mais sans faillir, Pauline Drand a tracé ce long poème où se répondent des traits de couleurs primaires. Visions d’enfance, fragments de discours amoureux, musiques salvatrices et lumineux espoirs.
Les Faits bleus mentent : ils échappent à une interprétation directe. Un manque se devine au cœur de cette succession d’images. La langue simple qui les porte invite à les relire muni d’un indice, sorte de règle du jeu donnée a priori par Mallarmé : « Cher Ennui, pour boucher d’une main jamais lasse / Les grands trous bleus que font méchamment les oiseaux. »
IMS011 — 28 p. — 100 × 160 mm

Grilles - Zelda Mauger
Quand l’ocean se retire d’Henri C. - Billiam C. et Camille Carbonaro
SKKS - Gilles Pourtier
Prose postérieure - Les commissaires anonymes
Mökki n°4
Tomber dans l'escalier - Jasper Sebastian Stürup
Marcel Proust en cinq minutes — Jackson B. Smith 





