Résumé de l’épisode précédent : Derrière les volets clos d’une maison délabrée, à l’abri des regards, Nelson bafoue les interdits, entreprenant l’émancipation de la belle Françoise, fille de l’illustre famille Mandoras. Débordés par l’intensité de leurs ébats, nos deux protagonistes en viennent à oublier la plus élémentaire discrétion. Attiré par leurs cris affriolants, un mystérieux individu les observe, l’œil accolé à l’entrebaillement d’une porte mal fermée… Initialement envisagé comme un opuscule autonome, Eros negro devient, avec la publication d’un deuxième épisode, une reprise de l’intégralité du 12e numéro de ce fumetti emblématique des années 1980, découpé ici en 4 volumes. Si Démoniak radicalise ici son projet critique, transgressant le rapport de domination homme noir / homme blanc de la bande originale, ce 2e épisode ne trahit en rien les ambitions populaires et masturbatoires du canevas dont il est issu. Le dessin s’y aiguise, transfigurant les compositions audacieuses de la bande d’origine, tandis que le scénario alambiqué nous réserve encore nombre de surprises immorales pour les deux numéros qui viendront clore l’intrigant feuilleton.
Eros negro #2 – Demoniak
5,00 €
Derrière les volets clos d’une maison délabrée, à l’abri des regards, Nelson bafoue les interdits
2 en stock
Poids | 120 g |
---|---|
Dimensions | 12 × 17 cm |
Vous aimerez peut-être aussi…
Bande Dessinée
Dignes héritiers d’une constellation d’auteurs inconnus ou oubliés des comix et fumetti pornographiques
Produits similaires
Parmi les créatures fantastiques qui peuplent les fictions d’Alex BARBIER, le loup-garou revient sans cesse.
Bande Dessinée
The repetition of black squares is WREK’s brilliant running gag.
Suivez le Petit Frère canard...
Bande Dessinée
L.L. de Mars aborde cette fois les corrélations fertiles entre entreprises critiques et visées créatives.
Bande Dessinée
Quatrième numéro de la revue A partir de ... la Bande Dessinée
Bande Dessinée
Bertoyas développe comme jamais auparavant ses thématiques fétiches de la fuite et de l’aliénation autour d’une improbable galerie de marginaux sur fond de guerres banalisées