Le travail de Philippe Weisbecker est une recherche de la simplicité, et de l’essentiel des sujets qu’il dessine. On perçoit une attention, une humilité, et un plaisir à retranscrire honnêtement le réel le plus prosaïque, celui de sa cuisine, de sa rue ou des rayons de la quincaillerie du quartier. En magasinier bien organisé, Philippe Weisbecker procède par série. Ici encore, avec un ensemble de gares et de petits transformateurs électriques. Joyo Oh ? Le nom du fabriquant espagnol de ces jouets ferroviaires, reproduits dans le facsimilé fidèle d’un cahier de dessin réalisé en 2019.


Pureté et impureté de l’art. Michel Journiac et le sida Antoine Idier
Slanted 24 - Istanbul
Manifeste d'intérieurs ; penser dans les médias élargis - Javier Fernández Contreras
Le chateau enchanté - Atelier Mclane
Do insects play ? - Johanna Tagada Hoffbeck
Alma Mater n°1
Dans la matrice : le design radical de Ken Isaacs - Susan Snodgrass
Cyclone - Juliette Chalaye
Gnose & Gnose & Gnose - Aymeric Vergnon-d'Alençon
Editer l’art – Leszek Brogowski
Mission Control - Emir Karyo & Jan Wojda
Imagos - Noémie Lothe
Hérésie Étiologique - coll.
Le Gabion - Théo Robine-Langlois
Poétique d'une introspection visuelle - Jean-Charles Andrieu de Levis, Alex Barbier 









