Le travail de Philippe Weisbecker est une recherche de la simplicité, et de l’essentiel des sujets qu’il dessine. On perçoit une attention, une humilité, et un plaisir à retranscrire honnêtement le réel le plus prosaïque, celui de sa cuisine, de sa rue ou des rayons de la quincaillerie du quartier. En magasinier bien organisé, Philippe Weisbecker procède par série. Ici encore, avec un ensemble de gares et de petits transformateurs électriques. Joyo Oh ? Le nom du fabriquant espagnol de ces jouets ferroviaires, reproduits dans le facsimilé fidèle d’un cahier de dessin réalisé en 2019.


How to Become the Daughters of Darkness - Coll.
Le blanc nez - Fouss Daniel
Acteurs d'un film gravé. Docteur A. Infirmier O. - Annabelle Dupret, Olivier Deprez et Adolpho Avril
Pectus Excavatum - Quentin Yvelin
Prose postérieure - Les commissaires anonymes
Zoom Age - Julien Auregan
UPO 1 - Earth Art - Rejane Dal Bello
Autoportrait - Carla Lonzi
Jérôme LeGlatin (avec Mel Crawford) - Le Crash
Saint Julien l'hospitalier Tome 1 - Claire Pedot
Surface Tension - Tabitha Soren
How Many - Nathalie Du Pasquier
Le chateau enchanté - Atelier Mclane
Humoral Fortuities - Francesco Albano’s
Lazy Painter - Angela Gjergjaj, Jordi Bucher and Mirco Petrini
Je ne peux pas ne pas - Geneviève Romang
Critique d'art n°54 









